S'il a toujours douté de ses productions discographiques à qui il accordait le seul mérite d'exister, ce dernier album, le onzième, lui accorde un état de sérénité car cette fois il eut l'impression apaisante d'avoir donné le meilleur de lui-même. il considère comme un de ses plus vifs instants de bonheur dans sa vie d'artiste le moment où après une journée d'effort il a écouté en compagnie de Philippe Calvayrach, son ingénieur du son, indispensable partenaire depuis quinze ans, l'apparition de l'image sonore de Mozart. |